Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 18:50

altero_5421_acc.JPGLa voix d’Altéro, artiste reconnu, a résonné le lundi 30 décembre à Arafat pour un hommage à l’icône de la lutte anti-apartheid Nelson Mandela, mort le 5 décembre 2013, à l’âge de 95 ans. Lors d’un concert, Altéro a entonné des chansons comme "Freedom" ou encore "Respect". Même si le grand public n’était pas au rendez-vous, le concert a drainé quelques inconditionnels admirateurs de l’artiste qui n’auraient manqué cela pour rien au monde.

Lors de ce concert, Altéro a dévoilé la chanson qu’il a crée en l’honneur de Madiba. "C’est une chanson qui évoque la lutte de Mandela contre l’oppression. Cet homme s’est battu pour le peuple Noir. En tant que jeune artiste reggaeman, il mérite profondément mon respect", explique Altéro.

"Je retiens de cet homme fabuleux son courage et son pouvoir d’avoir réussi à réconcilier le peuple sud-africain. C’est un creuset de sagesse et d’amour qui mérite qu’on lui rend un vibrant hommage", ajoute l’artiste-reggaeman.

L’hommage à Nelson Mandela a vu la présence d’artistes comme Ziza, Toniafiya, Baye Fall, Kartouch ou encore Imperial Cherghawi qui ont ajouté un grand moment de vibrations et leur touche personnelle à ce concert.

Par Babacar Baye Ndiaye

Partager cet article
Repost0
28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 15:29

abdou-guitte-seck-copie-1.jpgL’artiste sénégalais, Abdou Guitté Seck, auteur de huit albums, va se produire le 10 octobre prochain à La Case, à Nouakchott, dans le cadre d’un gala de charité organisé par les femmes reporters (Soya Watt, Maimouna Lô et Léna Dièye) de la Télévision de Mauritanie (TVM) pour soutenir des familles pauvres.

Lors de ce gala de charité, des groupes de musique mauritaniens comme Walfadjiri ou encore le jeune artiste Saidou Nourou Gaye et son groupe monteront sur la scène de l’enceinte de La Case pour prendre à la gorge le public.

La billetterie est déjà ouverte.

Pour vos réservations, contactez le numéro suivant : 44 24 38 60.

Babacar Baye Ndiaye pour Cridem

Abdou-Guitte-Seck-a-Nouakchott---Copie-copie-1.jpg

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 19:24

amam_2532.JPGC’est à Ousmane Gangué que l’AMAM (Association Multiculturelle pour un Avenir Meilleur) a fait appel pour terminer en beauté, ce samedi 21 septembre, au Village de la Biodiversité, la deuxième édition des Journées d’échanges et d’intégration culturelle. Comme l’année dernière, la soirée de clôture de la deuxième édition des Journées d’échanges et d’intégration culturelle a mis en avant les traditions, les chants et les danses.

Lors d’une allocution, la présidente de l’AMAM, Oumou Kane, a notamment insisté sur les liens qui unissent les peuples du monde notamment africains et arabes. "Nous retiendrons de ces trois journées constructives, que  le rapprochement, les échanges et l’intégration des cultures et des peuples africains et arabes, la promotion d’une symbiose et d’une intégration culturelle au sein de l’Afrique noire et entre celle-ci et le monde arabo-musulman sont des acquis que nous devons consolider et maintenir jalousement", soulignera Oumou Kane.

Quelques minutes, plus tard, sur la scène, les pays présents tels que le Sénégal, le Nigéria, la Palestine, le Mali, la Syrie, le Niger, l’Egypte, la Côte d’Ivoire, le Soudan ou encore la Mauritanie vont convoquer le répertoire de leur patrimoine culturel et traditionnel à travers la danse et le chant. Chaque pays apporte sa patte à ces Journées d’échanges et d’intégration culturelle.

"Il y’a des pays dont je ne connaissais pas la culture et les traditions. Ces journées d’échanges et d’intégration culturelle m’ont permis de les découvrir", témoigne jovialement Mohamed Siman de la délégation nigériane.

La deuxième édition des Journées d’échanges et d’intégration culturelle s’est achevée sur une belle note de musique acoustique d’Ousmane Gangué pour "célébrer nos cultures et nos valeurs". "Je remercie tout le monde notamment nos partenaires qui n’ont ménagé aucun effort pour la réussite de cet évènement. Je crois que les mauritaniens ont compris pourquoi je courrais dans tous les sens", conclut Oumou Kane, l’air satisfait, avant que ne retentisse la voix d’Ousmane Gangué.

Babacar Baye Ndiaye

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 19:21

amam 2275Warda Ahmed Val et Mamadou Dem se sont produits pour la première fois au Village de la Biodiversité, à Nouakchott, ce vendredi 20 septembre, lors de la deuxième édition des Journées d’échanges et d’intégration culturelle, initiées par l’AMAM (Association Multiculturelle pour un Avenir Meilleur).

Ce soir-là, rien ne semblait pouvoir arrêter Mamadou Dem qui s’est dévoilé à travers des titres comme "Galoya", "Tivaouane", "Yérimayo" ou encore "Mauritanie", un titre dans lequel il chante la solidarité, la paix, la fraternité et l’intégration.

De son côté, Warda Ahmed Vall a mis le pied à l’étrier pour offrir un spectacle sans faille et procurer une joie sans limites au public. La jeune femme magnifiera, dans l’une de ses chansons, les relations entre la Mauritanie et le Soudan, un des neuf pays invités à la deuxième édition des Journées d’échanges et d’intégration culturelle.

Le Village de la Biodiversité a été également chauffé à blanc par les artistes comme Fils d’Afrique et Adama Coulibaly. La fête était au rendez-vous, malgré que l’évènement peine encore à trouver de la visibilité, comme l’ont confirmé les organisateurs.

"Nous avons encore des difficultés à faire comprendre l’ampleur de cet évènement auprès des mauritaniens. Nous demeurons convaincus que c’est avec l’intégration culturelle qu’on peut régler beaucoup de questions, qu’ont peut rapprocher les gens", souligne Oumou Kane, présidente de l’Association Multiculturelle pour un Avenir Meilleur (AMAM).

Babacar Baye Ndiaye

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 22:10

AMAM_2060.JPGLa Mauritanie est interpellée pour jouer sa partition dans le concert des nations, a affirmé jeudi 19 septembre, Oumou Kane, présidente de l’Association Mauritanienne pour un Avenir Meilleur (AMAM), organisatrice des Journées d’échanges et d’intégration culturelle qui vont durer 72 heures.

"Elle est la mieux placée pour faciliter et promouvoir le dialogue des peuples dans leurs différences culturelles, artistiques et religieuses pour les amener à se connaitre davantage, à se comprendre, à s’accepter et à se tolérer dans un esprit d’échange et d’intégration mutuels", a souligné Oumou Kane, à l’ouverture de la deuxième édition des Journées d’échanges et d’intégration culturelle, au Village de la Biodiversité.

Oumou Kane a rappelé que les Journées d’échanges et d’intégration culturelle défendaient "le principe du vivre ensemble dans une symbiose culturelle et la connaissance de l’autre, l’amour et l’acceptation de son prochain".

"Il va sans dire que l’on doit œuvrer à renforcer les liens entre États, à minimiser les frontières artificielle imposées par la colonisation, à favoriser la libre circulation des biens, des personnes et des services en vue de la promotion d’une coopération Sud-Sud effective et efficiente", a-t-elle poursuivi dans une allocution.

Dix-sept pays africains et arabes participent à la deuxième édition des Journées d’échanges et d’intégration culturelle. La manifestation sera marquée par des expositions, un défilé de culture traditionnelle, des dégustations culinaires, un spectacle de musique animé par des artistes mauritaniens.

Babacar Baye Ndiaye

Partager cet article
Repost0
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 18:57

ousmane ganguéActuellement en studio pour la sortie de son second album, le chanteur Ousmane Gangué était invité ce jeudi 15 août aux journées préparatoires du Festival international de cinéma de la non-violence active (FICNOVA) qui se déroulera du 2 au 6 octobre prochain.

Lors d’un spectacle à Mendez à El Mina par l’ONG Monde sans guerre et sans violence, dans la banlieue de Nouakchott, l’artiste a interprété les titres "Adouna" et "Debbo" régalant la foule nombreuse, en majorité de jeunes, de sa voix.

"L’objectif de ces journées préparatoires, c’est de sensibiliser les populations sur les dangers qui sont le plus souvent véhiculés à travers l’écran", a expliqué Ali Mhaimid, secrétaire général de l’ONG Monde sans guerre et sans violence de Mauritanie, organisatrice du FICNOVA qui se tiendra également un peu partout à travers le monde entier en vue de prôner la non violence comme vecteur de cohésion sociale.

En octobre prochain, l’évènement sera marqué par la projection de films sur les violences, des campagnes de sensibilisation au niveau des écoles de Nouakchott sur les méfaits de la violence.

Suivez l'actualité culturelle, politique, sociale en Mauritanie en temps réel avec Rimart Culture sur Twitter, Facebook et WIKTV!

Babacar Baye Ndiaye

Partager cet article
Repost0
1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 19:15

MONZALe président 2 la Rue Publik, Monza, a assuré samedi 23 mars, au Centre Culturel Marocain (CCM) de Nouakchott, la clôture de la Semaine de la langue française et de la francophonie de l’édition 2013. L’artiste, qui travaille actuellement sur la sortie de son troisième album solo intitulé «Ad vitam æternam» prévue au courant de l’année 2013, a interprété sur la scène du CCM les titres «Le grand Je», «Salam» et «Mauritana».

Avant que Monza ne fasse sensation, le président de l’Association mauritanienne pour la francophonie (AMF) magnifiait la langue française et les cultures francophones. «Notre fête, cette année, a été une fête belle, de la beauté de notre langue, de notre solidarité, de l’usage que nous avons su faire de notre diversité pour rayonner dans le monde et enrichir le patrimoine culturel de l’humanité», avait-il affirmé.

«Nous avons réfléchi ensemble, en français, chanté, dansé sur les sonorités et les rythmes de ces mots, magnifier les idéaux de solidarité et de partage qui fondent notre appartenance à l’espace francophone et les perspectives que cela peut avoir sur un monde de paix, de fraternité et d’échanges», avait-il ajouté.

La clôture de la célébration de la célébration de la semaine de la langue française et de la francophonie était également marquée par la remise des prix aux lauréats des différents concours qui sont repartis tout heureux et la lecture des écrits de feu Habib Ould Mahfoudh et de Marie-Françoise Delarozière.  

Suivez l'actualité culturelle, politique, sociale en Mauritanie en temps réel avec Rimart Culture Blog sur Twitter et Facebook !

Babacar Baye Ndiaye

Partager cet article
Repost0
21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 02:14

Mister-X_8546.JPGIl est en train de monter en puissance. Ce jeudi 14 mars, Mister X était chargé de donner le coup d’envoi, version slam, de la Semaine de la langue française et de la francophonie, à l’Institut Français de Mauritanie (IFM).

Cette entrée en matière ne pouvait pas passer inaperçue. «On est là pour les mots qui soignent les maux», lance-t-il à l’assistance composée d’amis, d’inconnus, d’amateurs de slam et d’artistes. «On a tous des jours, des soirs, des moments, des caprices», ajoute-t-il, avant de donner le ton de la soirée.

Ce soir, Mister X n’a rien laissé au hasard pour feutrer les esprits, notamment en se faisant entourer de Bouyel Gaye, à la guitare acoustique et de Thioukoulé, au Bongo, pour apporter de la variation dans la musique. Il débute la soirée en interprétant «Je slame donc je pense».

«Ce soir, mon humeur est fade/Mon cœur est malade/ Mes yeux baladent/ Et mes oreilles sont à Bagdad/Ce soir, ma nature est animale», entonne Mister X. Le public répond par des applaudissements. La voix de Bouyel Gaye ajoute de la sensibilité aux plaintes de Mister X «envahi par le spleen». Le ton monte. Sa voix s’accélère lorsqu’il évoque les «discours pathétiques et démagogiques» de nos gouvernements. Il survole l’Afrique, traverse le Moyen-Orient pour dérouler  «l’hécatombe» à Damas, avant de s’interroger sur la folie de l’homme. «Les mains liées, j’ai vu Saddam quitter en martyr», se souvient-il.

Puis, il enchaîne avec «Ma lettritude» où il raconte sa rencontre avec la musique, notamment avec le slam.

Le titre «J’ail mal à l’Afrique» prend un tour de rappel, de remise en cause, d’alerte, de refus, de prise en conscience. «La mondialisation nous rappelle les échanges d’antan/Vends-moi ton pays et je t’enrichirai pour cent ans/La chicote est désormais économique/La Banque Mondiale, héritière de la colonisation, applique les mêmes techniques/Notre économie est squelettique/Pire que des collabos, nos Chefs d’Etat n’ont plus d’éthique», scande-t-il.

Dans «Thioro», slamé en wolof et poular, Mister X chante la femme, celle qui «émerveille jusqu’auprès de l’Eternel» et qui «saigne en donnant la vie », se laisse dominer par le champ magnétique de l’amour. «Sans toi, je suis comme cette chambre sans toise/Sans ton sourire, je perds ce sens qui donne le fou rire (…) Un bon géniteur n’est pas forcément un bon père/L’amour et le désir ne font forcément pas bonne paire», lance-t-il.

Puis, Mister X, Bouyel Gaye et Thioukoulé se laissent entraîner dans la mouvance de la musique hallucinée. Le public réagit, conquis. L’ambiance devient détendue, avant de changer d’air et de destination. Au dernier virage de la soirée, les mots sentent le chagrin, le dépit, la désolation. Mister X parle des «guerres tribales, de patrie, de sang, de terre». «Le monde va très mal», lâche-t-il.

Cette session de slam sera conclue en beauté par le slameur Jaalal. Avant lui, le slameur Baba était monté sur scène.

Suivez l'actualité culturelle, politique, sociale en Mauritanie en temps réel avec Rimart Culture sur Twitter et Facebook !

Babacar Baye Ndiaye 

Partager cet article
Repost0
17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 20:52

voix_femmes_7952.jpgCe jeudi 7 mars, Salla Fall et Aicha Mint Abba ont posé leurs premiers pas à la salle de spectacles de l’Institut Français Mauritanie (IFM), tandis que la Compagnie Sbéniyate faisait son retour sur le devant de la scène de l’IFM.

En écho à la célébration de la Journée internationale de la femme, Nouakchott Music Action (NMA) avait réuni Aicha Mint Abba, Salla Fall et la Compagnie Sbéniyate pour célébrer la femme, cette "fin du jour", comme le décrit Paul Valéry dans son livre "Mélange".

Cette année, le concert "Voix de femmes", qui est une tribune par excellence de la promotion des chanteuses mauritaniennes, n’a pas battu le record de fréquentation de celui de l’année dernière qui avait réuni Garmi Mint Abba, Tahara Mint Hembara, Penda Wouri Diallo et Diddal Jaalal. Les passages à vide, chaque spectacle a les siens.

Malgré un début assez timide, Aicha Mint Abba a mis beaucoup de cœur à l’ouvrage pour offrir une belle prestation. A l’arrivée, la fille de Lalla Mint T’neygmich a difficilement conquis le public. Il faudra attendre la montée sur scène de Salla Fall pour déchainer complètement le public.

Cette ambiance chaleureuse sera prolongée une demi-heure plus tard par la Compagnie Sbéniyate qui fera monter la température avec des chants et des danses ultra-percutants, avant de finir en apothéose. Alors rendez-vous l’année prochaine pour redécouvrir de nouvelles voix féminines de la scène musicale mauritanienne !

Suivez l'actualité culturelle, politique, sociale en Mauritanie en temps réel avec Rimart Culture sur Twitter et Facebook !

Babacar Baye Ndiaye

voix_femmes_7865.jpgvoix_femmes_7871.jpgvoix_femmes_7936.jpgvoix_femmes_7964.jpg

 
Partager cet article
Repost0
17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 17:40

afma_7984.jpgC’est devenu presque une habitude. Sous la houlette de l’Association des femmes actives mauritaniennes, dirigée par Marième Ibrahima Niang dite Néné, Saidou Nourou Gaye et le groupe Walfadjiri de Nouakchott ont donné de la voix, ce jeudi 7 mars, à la Case New Look, pour marquer les festivités de la Fête internationale de la femme.

Des femmes bien accoutrées et bien maquillées. Souriantes et affriolantes. Irrésistibles, les femmes l’ont été également. Comme l’année dernière, l’AFMA a placé très haut la barre.

A l’affiche, il y’avait de la musique, avec Saidou Nourou Gaye et le groupe Walfadjiri de Nouakchott, mais surtout, un défilé de mode avec les stylistes et couturières Bébé Bassoum (Complexe Maya), Néné Fall (Kouro Couture & coiffure), Fadoum Kane (Fil d’or) et Aïssata Niang (Carrefour de la mode).

En cette veille du 8 mars, de nombreuses sommités, comme Ahmed Ould Hamza, président de la Communauté Urbaine de Nouakchott (CUN), Doungou Salla Ba, Secrétaire exécutive nationale de la lutte contre le sida, Adama Sangaré, maire de Bamako, Souleymane Koné, ambassadeur du Mali en Mauritanie, ont répondu à l’appel.

L’occasion pour la présidente de l’AFMA de passer en revue les buts de l’organisation qu’elle dirige qui sont de "promouvoir l’éducation économique et sociale de ses membres par la création d’activités génératrices de revenus", "faciliter à ses membres l’accès au logement", "participer aux programmes de lutte contre la pauvreté", "assister socialement les femmes démunies et les enfants malnutris".

"Notre conviction est que la solution de nos problèmes et notre épanouissement dépend de notre capacité à réunir nos efforts, afin de magnifier le rôle de la femme mauritanienne dans le développement de notre pays", insistera dans son discours Marième Ibrahima Niang dite Néné.

La fin de son discours est accompagnée d’applaudissements de l’assistance. Commence ensuite une session de défilé de mode d’un tour d’horloge. Les mannequins Néné Sakho, Ablaye Diamé, Assia Bâ, Oumou, Nabou Dieng, Zeinabou et Sorro Ndine passent et repassent devant l’assistance pour mettre en exergue les dernières créations des couturières et stylistes de l’AFMA.

La fête sera prolongée tard dans la soirée avec les notes de salsa ultra-entraînantes du groupe  Walfadjiri de Nouakchott. Les femmes et les invités resteront là, jusque vers 3h 30, pour profiter du show plein de joie et d’entrainement.

Suivez l'actualité culturelle, politique, sociale en Mauritanie en temps réel avec Rimart Culture sur Twitter et Facebook !

Babacar Baye Ndiaye


Partager cet article
Repost0